96H TOKYO

Mars 2012, notre fille a 15 mois. Premières vacances de jeunes parents. Courte escapade dans le rush tokyoïte, sous une pluie ininterrompue. 4 jours à arpenter les rues, connecter les points sur la carte, passer d’un quartier à un autre, s’imprégner de cet univers humide à la Blade Runner.
En si peu de temps, la ville ne se dévoile pas. Tout reste caché, masqué, perdu dans l’ombre. Un goût de pas assez, une impression de rêve, et pourtant, un concentré d’expériences et de sensations.